Exposition Willy Ronis
Cette exposition se déroule jusqu'au 29 Septembre 2018 au Pavillon Carré de Baudouin dans le 20ème Arrondissement de Paris.
C'est un bonheur de parcourir les différentes salles de l'exposition, avec les commentaires de l'auteur, de retourner dans les années 30, à ses débuts, jusqu'à la fin du 20ème siècle, au milieu des gens, au fond d'un café, à l'usine, sur la route, à la campagne ... revivre la vie insouciante, pauvre et heureuse de la France de cette époque.
J'ai eu l'impression d'y revoir mon père. Lui aussi était photographe, avec la même petite moustache, et il tenait lui aussi un magasin dans une petite ville de province. Les photos de mariage et de communion étaient son gagne pain, et il aimait pour son plaisir photographier en toutes occasions, principalement pour ses passions. Voir l'album de spéléologie en Gascogne ... mais revenons à Willy Ronis :
On y retrouve ses clichés les plus célèbres.
Les années 60, la démocratisation de la voiture et du téléphone,
De belles salles, mais lors de mon passage il y avait quelques déficiences lumineuses.
Les photographies y sont regroupées par thème,
avec un bel agencement.
Un clair obscur qui nous oblige à regarder avec plus de persévérance.
Une image connue de tous.
Des écrans associés à des tablettes permettent d'afficher la totalité de l'oeuvre de Willy Ronis.
Willy Ronis affectionnait les auto-portraits, dénommés aujourd'hui selfies, à la différence que ses selfies étaient bien travaillés !
Et puis c'est la fin, il faut partir, avec en tête, choisir le bon cadrage, la bonne lumière, le bon moment, pour la bonne photo, "l'instant décisif" cher à Henri Cartier-Bresson.
C'est un bonheur de parcourir les différentes salles de l'exposition, avec les commentaires de l'auteur, de retourner dans les années 30, à ses débuts, jusqu'à la fin du 20ème siècle, au milieu des gens, au fond d'un café, à l'usine, sur la route, à la campagne ... revivre la vie insouciante, pauvre et heureuse de la France de cette époque.
J'ai eu l'impression d'y revoir mon père. Lui aussi était photographe, avec la même petite moustache, et il tenait lui aussi un magasin dans une petite ville de province. Les photos de mariage et de communion étaient son gagne pain, et il aimait pour son plaisir photographier en toutes occasions, principalement pour ses passions. Voir l'album de spéléologie en Gascogne ... mais revenons à Willy Ronis :
On y retrouve ses clichés les plus célèbres.
Les années 60, la démocratisation de la voiture et du téléphone,
De belles salles, mais lors de mon passage il y avait quelques déficiences lumineuses.
Les photographies y sont regroupées par thème,
avec un bel agencement.
Un clair obscur qui nous oblige à regarder avec plus de persévérance.
Une image connue de tous.
Des écrans associés à des tablettes permettent d'afficher la totalité de l'oeuvre de Willy Ronis.
Willy Ronis affectionnait les auto-portraits, dénommés aujourd'hui selfies, à la différence que ses selfies étaient bien travaillés !
Et puis c'est la fin, il faut partir, avec en tête, choisir le bon cadrage, la bonne lumière, le bon moment, pour la bonne photo, "l'instant décisif" cher à Henri Cartier-Bresson.
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